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  • bruceetwallace

J - 8

https://fr.ulule.com/archives-secretes-de-sherlock-holmes/ Plus que 8 jours pour participer sur ULULE à la souscription en financement participatif de l'intégrale de 200 pages des Archives de SHERLOCK HOLMES en couleur avec en bonus une nouvelle inédite et illustrée mar mes soins "Les DISPARUS d'EILEAN MOR" basé sur une histoire vraie.

SINOPSYS LES DISPARUS d’EILEAN MOR : Londres, début janvier 1900, la neige recouvre la capitale de l’Empire Britannique. Sherlock Holmes se désespère d’enquêter sur une affaire qui le sortirait de sa torpeur tandis que Watson craint pour la santé mentale de son ami autant qu’il redoute une rechute dans son addiction à la drogue. C’est le moment que choisit un homme, Robert Muirhead, pour se rendre à Baker Street et fournir ce qui va devenir pour le docteur Watson « la plus extraordinaire et mystérieuse aventure de Sherlock Holmes depuis l’affaire du Chien des Baskerville ». Le visiteur, un policier écossais venu des îles Lewis au nord-est de l’écosse, leur raconte une histoire incroyable survenue le 15 décembre 1899 dans les îles Flannan, à Eilean Mor un ilot inhospitalier long de 150 mètres et haut de 50 mètres abandonnés de Dieu et des hommes. Le policier ; dépêché par la Northern Lightouse Board d’Edimbourg, commence à leur raconter un étonnant récit : Inauguré un an auparavant, le phare haut de 23 mètres est entretenu et surveillé par quatre marins retraités chevronnés, travaillant par équipe de trois, passant chacun 6 semaines sur l'île, suivies de 2 semaines de repos à tour de rôle. Tous les 15 jours, le navire ravitailleur l’Hesperus apporte le courrier et les vivres, débarque le gardien rentrant de congé et repart avec un autre prenant son congé de 2 semaines. Le 6 décembre 1900, c'était au tour de Joseph Moore d'être relevé. Au soir du 15 décembre, un bateau à vapeur l’Achtor, arrivé de Philadelphie, aperçoit en passant au large que le phare est éteint ? Le capitaine Holman, une fois rentré au port sur l’île de Skye, alerte les autorités. Le 21 décembre, Joseph Moore, le gardien de phare en congés, embarque à nouveau sur l'Hesperus pour retourner à Eilean Mor. Le temps, qui avait été jusque-là très calme, change et une tempête se déchaine dès que le bateau quitte le port. Pendant 3 jours, l'Hesperus croise au large des Hébrides, et c'est seulement le 24 décembre qu'il peut approcher des îles Flannan. Moore est alors très alarmé de constater que la lampe de 140 000 bougies du phare est éteinte. Bien que très impatient de débarquer et de voir ce qui ne va pas, il doit encore patienter 2 jours avant que l'Hesperus puisse accoster en sécurité au quai est de l'île. Rien n'a été préparé pour leur arrivée. Sur la jetée, pas de caisses d'emballage vides, ni câbles pour l'amarrage. Les coups de sirène de brume répétés ne font sortir personne du phare. Une embarcation est mise à l'eau, et Joseph Moore débarque avec deux marins. Le portail d'entrée et la porte principale du phare sont fermés. Moore entre et appelle. Pas de réponse. Tout est froid et vide et, sur une étagère, les pendules sont arrêtées. Moore est pris de panique à l’idée de trouver les gardiens morts dans la tour du phare, mais Il n'y a aucun signe de vie de ses amis, Thomas Marshall, Donald Mc Arthur et James Ducat . Le phare est absolument vide. Chose étrange : deux des trois cirés et paires de bottes des hommes manquent. Les marins de l'Hesperus fouillèrent l'île. Ils ne trouvèrent aucune trace des absents, mais découvrirent certains indices qui firent croire tout d'abord que le mystère était éclairci. Le quai ouest avait été très endommagé par l'ouragan. Sur une plateforme de béton située à 20 mètres de hauteur, il y avait une grue sur laquelle pendaient des filins. Ces filins étaient d'habitude rangés dans un coffre placé dans un renfoncement à 30 mètres au-dessus du niveau de la mer. Une tempête avec des vagues de plus de 30 mètres, aurait-elle assailli l'île et emporté le coffre, faisant tomber les filins sur la grue ? Avait-elle aussi emporté les trois hommes ? C'était peu vraisemblable, car de telles vagues géantes sont extrêmement rares. En outre, des gardiens de phare expérimentés n'auraient pas été assez fous pour s'aventurer sur une jetée pendant une tempête, et s'ils l'avaient fait, les trois cirés, et non deux, auraient été absents. De plus, le chef du phare, Ducat, devait toujours se trouver à l’intérieur car il était inconcevable de laisser le phare sans surveillance. Très inquiet, Moore examina le journal de bord, en compagnie du commandant de l'Hesperus. C'est Thomas Marshall qui avait tenu le journal, et de ses brèves phrases surgissait la vision d'une terreur sans nom qui avait envahi les hommes sur leur rocher isolé. Voici ce que lut Moore : - « 12 décembre. Coup de vent du nord quart nord-ouest. Mer démontée. Isolés par la tempête. 21 heures. Jamais vu un tel ouragan. Vagues très hautes, se brisant sur le phare. Tout est en ordre. Ducat irritable ». Moore et le commandant se regardèrent. Le 12 décembre aucune tempête n'avait été signalée à Lewis, à 20 milles de là. La remarque sur Ducat était également anormale. La suite avait été écrite à minuit le même jour : « La tempête fait toujours rage. Le vent ne mollit pas. Isolés, ne pouvons sortir. Un navire passe en actionnant sa sirène de brume. Je peux voir les lumières des cabines. Ducat tranquille. Mc Arthur pleure ». De nouveau, Moore et le commandant se regardèrent. A quelle extrémité en était arrivé le marin aguerri et réputé bagarreur Donald McArthur pour pleurer ? Ils reprirent leur lecture. - « 13 décembre. L'ouragan a continué toute la nuit. Le vent hale l'ouest quart nord-ouest. Ducat tranquille ». « McArthur prie ». Hier MacArthur pleurait, aujourd'hui il priait !!! « Midi. Le jour est gris. Moi, Ducat et Mac Arthur avons prié ». Etrange pour des marins aguerris et non croyants ? Ce ne pouvait être dû à leur peur de l'ouragan, car ils avaient tous affronté des tempêtes au cours de leurs longues années de navigation. - Sur le journal restait cette dernière phrase : « 15 décembre. 13 heures. Tempête terminée. Mer calme. Dieu est au-dessus de tout ». Muirhead conclut son propos par l’évocation d’un récit encore plus troublant : Des marins de Skye affirment avoir aperçu près d’Eilean Mor un drakkar viking avec à son bord trois hommes, le teint spectral, en train de ramer dont deux qui portaient des cirés… Holmes, fasciné par ce récit pour le moins fantastique, accepte l’affaire et s’embarque en compagnie de son inséparable comparse, le docteur Watson et de Robert Muirhead à bord du Flying Scotsman pour l’écosse. Sherlock va tenter de résoudre cette singulière affaire qui va les conduire sur cet ilot rocheux réputé hanté des siècles en compagnie du quatrième gardien de phare Joseph Moore et de deux marins vétérans. Mais l’ambiance va vite devenir insupportable entre disparitions, crises de démence, apparitions monstrueuses de créatures légendaires écossaises et meurtres… Quels mystères rescellent en ses flans l’île maudite d’Eilean Mor ?



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